Je connais leurs visages, souvent leurs prénoms, parfois leurs histoires.
Je passe quelques minutes avec eux, ont échangent, on partagent.
Discussions, sourires, rires, …
De l’empathie mais surtout une humanité retrouvée pour eux comme pour moi.
Ce sentiment fou, profond et infini de ne pas comprendre la situation. De lutter contre ce sentiment d’impuissance, …
Pourtant chaque soir je rentre dans mon palais de prince, chauffée, spacieux, confortable. Je prends ma douche et me glisse sous mes draps tout en sachant ce qu’eux vivent, …
Plus j’apprends et moi je le supporte …
